fic twilight

Je prend une grande inspiration, essayant de calmer mon coeur qui bat à tout rompre.

Aller ma fille, ce n'est pas la première fois que tu rencontres Chiron... Bon c'est la première que je vais être vraiment seule à seul avec lui. Il est intimidant malgré sa bienveillance.

Je toc à la porte de son bureau timidement, au point que je doute qu'il ai entendu le faible bruit, pour ne pas dire ridicule, émis par mon point sur le bois.

-Entrez.

Ha bas si il m'a entendu. Je pousse doucement la grande porte et pénètre dans l'entrebaillement. Le centaure est derrière son burreau, posant son regard sur moi. Tout de suite je me sens plus appésée. Mais enfin de quoi j'avais peur. Je suis là pour lui demander de l'aide voyont.

Je me taisa après avoir dis tout ça... Je regardais mes pieds, n'osant par voir leurs têtes... Mais rien qu'au son de la voix de dionysos, je les imaginais surpris au plus haut point

-La fille... de la vie et de la mort ?

Je soupire et relève la tête, affrontant enfin leurs regards

-Oui...

Chiron prend une pose indiquant une réfexion. Personne ne dit le moindre mots pendant ce temps. Je reste pendu à ses lèvres. Qu'il me dise ce que tout ça siginifie, le sens de cette prophécie.
Et enfin ce moment arrive.

-Au vu de ce que tu viens de nous dire... Il n'y a qu'une seul possibilité... Tu n'est pas la fille de Démétèr... Mais sa petite fille...

Dionysos soupira pour ajouter à son tour :

-La fille de Perséphone.

Que...QUOI ??? Ma mère est... Non...

Je prend une grande inspiration, essayant de calmer mon coeur qui bat à tout rompre.

Aller ma fille, ce n'est pas la première fois que tu rencontres Chiron... Bon c'est la première que je vais être vraiment seule à seul avec lui. Il est intimidant malgré sa bienveillance.

Je toc à la porte de son bureau timidement, au point que je doute qu'il ai entendu le faible bruit, pour ne pas dire ridicule, émis par mon point sur le bois.

-Entrez.

Bon si il m'a entendu...Plus possible de faire marche arrière. Je pousse doucement la grande porte et pénètre dans l’entrebâillement. Le centaure joue aux cartes avec monsieur D., posant son regard sur moi. Tout de suite je me sens plus apaisée. Mais enfin de quoi j'avais peur? Je suis là pour lui demander de l'aide voyons, il ne va pas me manger!! Même si monsieur D risque de me changer en limace...

-Que puis je faire pour toi Océane?
-Et bien...hier l'oracle m'a parlé...
-Tu as reçu une quête?
-Oui...enfin...plutot quelque chose de personnel...c'est ma mère...
-Déméter va très bien Orlane, tu n'as pas à nous embêter avec une quête imaginaire, on a assez de problème avec les géants comme ça!

Ce que monsieur D peut être énervant à changer mon prénom!

-C'est Océane monsieur D...
-Raconte moi la prophétie mon enfant

Chiron parlait calmement et je me concentrait sur lui et commençaient à réciter la prophétie sans oublier le moindre détail, j'avais bien compris que tout, le moindre mot était important.
Je me taisais après avoir dis tout ça... Je regardais mes pieds, n'osant par voir leurs têtes... Mais rien qu'au son de la voix de Dionysos, je les imaginais surpris au plus haut point

-La fille... de la vie et de la mort ?

Je soupire et relève la tête, affrontant enfin leurs regards

-Oui...

Chiron prend une pose indiquant une réflexion. Personne ne dit le moindre mots pendant ce temps. Je reste pendu à ses lèvres. Qu'il me dise ce que tout ça signifie, le sens de cette prophétie.
Et enfin ce moment arrive.

-Au vu de ce que tu viens de nous dire... Il n'y a qu'une seul possibilité... Tu n'est pas la fille de Déméter... Mais sa petite fille...

Monsieur D soupira pour ajouter à son tour

-La fille de Perséphone.

Que...QUOI ??? Ma mère est... Non...ce n'est pas possible...je...la fille de Perséphone? La femme d'Hadès...le dieu qui veut me tuer....

-Ce qui m'inquiète c'est cette histoire c'est cette histoire de sort que tu choisi pour l'enfer.
-Ba moi je dis que la transformer en écureuil nous empêchera d'avoir à nous embêter avec tout ça!
-Monsieur D, vous aviez promis que...
-Oué oué, mais cette Annie
-Océane monsieur

Océane m'embrasse doucement, un brin timidement de par sa précédente déclaration. Dieux que celà est plaisant. Je soulève doucement, pour la fait s'assoir sur une comode dans le couloir tout en répondant à ce baisé tendrement. Imédiatement, mon amoure vient se coller à moi, ce qui me fais doucement rire. Un rire franc et vrai, tandis que je caresse les cuisses d'Océane, de mon Océane, de ses mains, partant de ses chevilles, remontant doucement de plus en plus haut, les glissant sous la robe de ma belle.

Elle en rougit, mais ne m'empêche en rien d'agir. Par Timidité ou désire de me laisser faire ? Je n'en sais rien mais ne m'arrête pas.
Mes mains remontent plus haut encore, caressant l'extérieur des cuisses de ma demie déesse, arrivant doucement aux hanches, tandis que mes lèvres l'embrasse dans le creux du cou, me collant contre mon aimée. Je sens les mains d'Océane sur les miennes, pardessus la robe, m'arrêtant. Je laisse ses mains où elles sont, regardant ma belle déesse dans les yeux

Je la regarde rougir. Je la sens frémir sous mes doigts, pas de frois, comme si ma peau l'électrisait. Je ne me connaissais pas si sensuel, je me suis juste laissé aller. Je l'embrasse doucement, tendrement, glissant ma langue en elle, la faisant danser avec la jumelle de ma moitié. Je sens sous mes doigt un fin tissu en dentelle, et il me vient une idée, un instin que jamais je n'avais eu connaissance en moi. Mon coeur bat à tout rompre devant ce que je vais faire. Si ça marche, Océane va avoir un plaisir énorme. Si elle s'en rend compte de ce que je vais faire, elle risque de ce crisper encore plus qu'elle ne l'est en ce moment, car je vois qu'elle se fait violence en elle pour me laisser agir, pour ne pas s'éloigner de moi.

Doucement, je fais redescendre ses mains, l'embrassant à nouveau pour la distraire, lui volant lestement sa petite culotte sans qu'elle ne s'en apperçoive. Elle ne fait que répondre à mon baisé, plus pasionnément encore, prenant l'initiative de faire danser nos langues cette fois.

Je me colle encore plus à elle, ayant besoin de la sentir contre moi, lui prenant doucement les mains dans les miennes, l'une d'entre elle tient la petite pèce de tissu noir en dentelle que je viens de lui dérober. Océane rougit furieusement en remarquant de quoi il s'agit. Si elle savait à quel point elle est belle ainsi, à quel point elle m'apparait désirable en cette seule seconde.

Je souris et dévore le menton d'Océane de baisé, puis le cou, allant de plus en plus bas, suivant une ligne droite, passant mes embrassade sur la robe, jusqu'au cheville d'une des jambe de ma déesse.

Je l'entends gémir lorsque mes lèvres retrouve le contacte de sa peau, signe qu'elle se laisse enfin aller. Je continu de me laisser guiger par cette instint pervers. Jusqu'où celà va nous mener ?

Je mui embrasse l'intérieur de la cuisse, rémontant lentement, mais sous la robe cette fois. Elle en gémit encore, je la sens frissoner sous chacuns de mes contactes avec sa peau.

Plus je monte, plus mon amoure ouvre l'entre jambe, signe qu'elle en veut plus, qu'elle en réclame plus. Ses gemissements sont si sensuels, si pleins de plaisir, est m'excitent à mort. Je commence à embrasser doucement le haut de la cuisse d'Océane quand cette dernière me surprend à enlever sa robe, se retrouvant nue en plein couloir.

Je la regarde dans les yeux, admirant cette jeune femme nue en souriant, sourire auquel elle répond avec complicité. Océane c'est complêtement abandonné et je lui embrasse tendrement ses lèvres intimes. Elle lache un cri étouffé par un gémissement, fermant les yeux, rejettant sa tête en arrière. On dirait qu'on vient de lui envoyer une décharge électrique dans tout le corps.

Je continu, me mettant doucement à embrasse l'entrejambe de mon Océane comme j'embrasse ses lèvres, passionnément, et avec la langue. Je ferme les yeu en le faisant et sens une des mains de la jeune femme de mon coeur me caresser l'arrière du crane, appuyant légèrement dessus.

-Anthony....c'est si bon....

J'agite ma langue en elle, doucement, puis de plus en plus vite, lui offrant un cunilingus passionné. Une de mes main caresse la cuisse gauche de ma belle, tandis que l'autre court sur son ventre, remontant plus haut, se mettant à malaxer le sein droit. Je lui offre toujours plus de plaisir, la faisant gémir comme une folle et ce durant de longues minutes, buvant avidement ce qui sort d'elle, qui a un goùt si exquit. Mais je lui réserve une surprise pour le final.

Doucement je dirige ma main de la cuisse à l'entre jambe de ma belle sans cesser ce que je fais d'autre. Et ajoute doucement mon doigt à ma langue, en elle. L'effet ne se fait pas attendre, elle crie en se figeant, elle crie de plaisir.

Je retire doucement ma langue tandis que mon doigt caresse le point G de ma douce déesse. Je colle mes lèvres à son clitoris et le lui pompant doucement, sentant les ongles d'Océane me rentrer dans l'arrière de la tête, appuyant plus fort pour en avoir toujours plus.

Le résultat de ce traitement ne se fait pas attendre longtemps, Océane pousse un long feullement, digne d'une chatte, se cambrant, signe qu'elle jouit. Je n'attend pas et retire mon doigt pour coller ma bouche à ses lèvres intimes, buvant doucement la jouissance de la belle demie déesse, goutant à son nectar divin. Je décolle doucement mes lèvres de celles intimes d'Océane, non sans un dernier coup de langue, souriant à la belle qui semble avoir jouit comme jamais. Elle a le sourire aux lèvres, tout son corps tremble, et son yeux reflête encore son égarement dans son monde de plaisir d'on elle vient d'atteindre les premières cimes.. Elle rougit de ce qui vient de ce passer, sa voix est tremblottante.

-Je...

Je fais disparaitre le goût d'Océane de ma bouche avant de me redresser pour embrasser ses lèvres doucement, les mains poser autours de la taille de la jeune femme sur la comode. J'ignore commetn j'ai fait disparaitre ce goût, mais je sais qu'elle ne l'aurait pas apprécier.

-Tu ?

Elle rougit devant ce qu'elle va me dire.

-Je te veux...en moi....

Je l'embrasse tendrement en réponse. Moi aussi je la veux. Plus que tout. doucement je me colle à elle et lui murmrure au creux de l'oreille.

-Accroche toi bien à mon cou.

Je place mes mains sous ses fesses en lui disant ça, lui arrachant un doux soupire par ce simple contacte. Elle m'ensert le cou de ses bras, me regardant droit dans les yeux. Je l'embrasse avec tendresse et amour, la soulevant, l'emenant dans une chambre, sur un lit. Je ne veux pas notre première fois se fasse dans un couloirs. Je me suis laissé emporté sur le coup, mais je ne veux pas lui voler la magie de ce moment. Elle mérite un acte d'amour dans les règles.


(fin chap sinon ça fait trop long. Je m'occupe de la suite demain)